j’ai contemplé cette dimension jadis depuis une colline
j’ai vu les neiges l’écrire sur le sentier nomade
les rivières du silence s’étaient taries dans ton sourire
les froncements arqués de tes désirs dessinaient des palmiers
dans les lits d’anciennes rivières que l’eau avait désertés
sur la langue assoiffée de ma dégustation
mijotaient des vents de cumin
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rechab (Tuesday, 02 September 2014 10:05)
Les montagnes un jour, ont basculé,
Happées par un gouffre,
Les eaux se sont taries,
Et je suis resté seul,
Juste au bord de la falaise .
La coupure brutale du sentier,
Déserté de ton sourire.
Et de parole, que celle
De mon propre écho,
Le vent d'épices,
Son amertume , celle du soufre .
Alline Talkington (Tuesday, 07 February 2017)
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